Fessée pour sauce aux olives

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il y a 9 ans

Cela faisait un moment que nous cherchions un moment pour nous voir. Entre nos emplois du temps respectifs, cela ressemblait à un casse-tête chinois. Finalement, nous avons trouvés.

Cela avait été prévu pour le samedi, juste après un retour de voyage. Il allait être sûrement fatigué, mais bon, ce n’est pas grave, on évitera de trop l’embêter.Nous avions rendez-vous pour 18h30, à la station de métro la plus proche de chez lui. Nous sommes tous les deux à l’heure. N’ayant pas envie de manger quelque chose tout fait, nous allons faire les courses. On se retrouve donc devant un rayon de sauce tomate. Il me regarde et me demande de choisir. Finalement, je lui dis n’importe.

Il choisit donc une sauce aux olives et nous rentrons.Sur le chemin du retour, nous papotons de tout et de rien. Je me rends compte et il me le confirme, il est en forme aujourd’hui. Nous arrivons toujours en discutant. Je finis par lui dire que j’ai volontairement rater un concours. Après lui avoir expliqué le pourquoi du comment (en tout cas une partie), il reste contrarié, raté un concours volontairement, ce n’est pas rien. Cependant, je ne démords pas, je refuse qu’on s’immisce dans ma vie professionnelle. Il rend les armes et se range à ma volonté. Nous changeons de sujet. Et inévitablement, je finis par multiplier les insolences. Il se lève, me demande si j’ai faim. Je lui réponds que non et, il se dirige vers la cuisine. Il revient de la cuisine, la cuillère en bois à la main. Il se met à ma gauche et, me bascule sur ses genoux tout en disant que ça tombe bien…

Il commence à la main, sur le pantalon. Il me répète que je ne suis qu’une petite insolente. Évidemment, je ne peux que nier.

_ Parfait, mademoiselle veut jouer les fortes têtes… Eh bien, j’ai ce qu’il faut pour vous…Je sais déjà ce qui m’attend. La cuillère vient remplacer sa main. C’est plus la même histoire, ça chauffe très vite. Il me demande si j’ai reconnu ma vieille amie. Non mais quelle question ! Oui, je l’avais très bien reconnue. Et là, ne m’y attendant pas, il me demande ce que je mérite pour le concours. Vu ma position, la raison aurait voulu que je me range à son avis. Mais, j’ignore la raison, et je lui réponds « rien ». Il insiste un peu, mais je suis une tête de mule. Je ne démords pas. Il finit par accepter que la discussion soit close (en tout cas, dans ce contexte).Il reprend finalement, sur mon insolence et me demande de répéter.

_ Toujours « nanana », cause toujours etc. ?

_ oui !

_ Tu m’en refais un, histoire qu’il n’y est pas de malentendu.

_ Nanana !!

_ Hannnn !!! Mais ce n’est pas possible ! Debout Mademoiselle !

Je me relève de ses genoux et mon pantalon va rejoindre mes genoux et moi je rejoins de nouveaux les siens.C’est beaucoup moins drôle du coup, ça chauffe et c’est douloureux beaucoup plus vite. Après dix minutes, je l’interromps :

_ J’ai faim ! Lol

_ Alors on va cuisiner, debout mademoiselle.

Je me relève et commence à me rhabiller, quand il interrompt mon mouvement.

_ Non, non. Je fais la cuisine et toi tu restes sagement face au mur.

Je ne m’attendais pas à cela. Je me retrouve nez à la porte et finalement, déculottée. Ai-je besoin de préciser que ce n’était pas ce que j’espérais ? Je le laisse donc mettre le repas en route. Mais, j’ai horreur du coin. Après cinq minutes d’arrangement et quelques coups de cuillère, je sors du coin. J’ai évidemment la permission de le quitter, après lui avoir promis d’être sage.

Bizarrement, derrière les fourneaux on se sent en sécurité. Donc, on se permet des écarts.Et bien non, on ne l’es pas. Pour chaque insolence, j’ai fait un aller-retour sur ses genoux, pour 20 coups de cuillère. Au bout de trois fois, je m’assagis et retiens ma langue.Une fois les pâtes cuites et la sauce chaude nous passons à table. Je me dois de préciser que je ne mange pas d’olives, pour une sauce aux olives, c’est dommage. Il s'en rends compte et me sermonne me disant, que j’aurais dut le prévenir. Nous terminons tout de même de manger, nous réglerons cela après le diner. Le repas se poursuit tout en enchainant des sujets divers et variés.Le repas terminé, nous débarrassons et faisons la vaisselle.

Il me redemande si je veux boire quelque chose d’autre. On se pose dans le salon, afin de papoter un peu. Je ne peux pas m’empêcher de le provoquer, mais sa patience est grande. Au bout d’un petit quart d’heure, il me rappelle l’histoire de la sauce.

_ Tu sais que tu m’as laissé choisir une sauce que tu ne mangeais pas ?

_ Mais ce n’est pas grave voyons !

_ Si c’est grave, cela me fait passer pour un mauvais hôte !

_ Mais non, tu n’es pas un mauvais hôte, je t’ai laissé choisir c’est tout !

_ Non, ce n’est pas tout ! Je passe pour quoi ?

_ Mais ce n’est pas grave je te dis !

_ Si c’est grave….

Il retourne à la cuisine, revient et me recouche en travers de ses genoux. Et vu que j’ai les fesses endolories par la première fessée, ça chauffe très vite. Cependant, je refuse d’admettre que c’est grave car ça ne l’est pas.

Il me demande donc de me relever et baisse mon pantalon. Puis retour sur ses genoux et de la cuillère. Les claques se font plus dur mais, je n’en démords pas ce n’est pas grave. Histoire de me convaincre un peu plus vite, ma culotte va rejoindre mon pantalon. La cuillère reprend sa danse infernale sur mes pauvres fesses. Heureusement qu'il est gentil, il diminue la chaleur de mes fesses en les massant.Seulement ce n’est qu’une pause très courte. Il me demande de me lever et il va chercher un nouvel instrument. Il me fait allonger sur le canapé et me donne un coup du nouvel instrument.

Aïe ! La badine vient de rentrer dans le jeu. Par série de 6, il joue avec ma volonté. Histoire de diversifier, je retourne sur ses genoux, pour une série à la cuillère. C’est surtout que au lieu d’admettre que c’est grave, je rajoute avec de l’insolence, obligatoirement…Mais, mes fesses commencent un peu trop à me cuire et j’admets qu’il a raison que c’était grave.

_ Tu reconnais donc que c’est une bêtise de m’avoir laissé choisir cette sauce ?

_ Oui !

_ Donc que cela mérite une fessée !

_ Ah non, c’est bon, s’il te plait !

_ Non mademoiselle, on fait une bêtise, on assume…

_ Mais je l’ai déjà reçu la fessée…

Trois coups de cuillère tombes, histoire de m'engager un peu plus vite dans la bonne direction

_ Tu mérites une fessée ?

_ Oui…

_ Bien ! Debout jeune fille ! Allonge-toi sur le canapé… Tu vas recevoir six coups de badine. Et tu les comptes, je ne voudrais pas me tromper.

Je compte donc les six coups de badines, vraiment pas gentils. Après le dernier coup, il me demande si je veux aller au coin, ou si je préfère six nouveaux coups de badine. Je choisi les coups de badine, qui font plus mal que les derniers.Après cela, il demande si ça va, si je veux boire quelque chose. Puis il m'ouvre les bras pour un câlin de réconfort.

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